Wednesday, April 25, 2012

Organigramme

Les hommes et les femmes ont-ils droit aux mêmes services sociaux au Québec ?

1-En matière de violence conjugale ?

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Violence Conjugale

On a ici un organisme, S.O.S. violence conjugale, financé par le ministère de la Justice du Québec, où la violence féminine n’existe tout simplement pas:

www.sosviolenceconjugale.ca/ligne.html


On se pose la question suivante: pourquoi n’y a-t-il pas davantage de cas de violence conjuguale contre les hommes déclarés à la police ?



Pourtant il y a autant de victimes chez les hommes que chez les femmes selon les statistiques officielles du gouvernement. (Voir les hyperliens plus bas)



On entend récemment dire que si un gars est victime de violence conjuguale, il a droit aux même services qu’une femme, est-ce vrai ?



Ben non c’est pas vrai.


S.O.S. Violence conjuguale est un organisme qui se définit comme suit: “Une équipe d’intervenantes basée à Montréal qui reçoit les appels de détresse des femmes victimes de violence conjugale.”



S’occuper des femmes victimes c’est bien mais les hommes vicitmes de violence conjuguale qu’est-ce qu’ils font ?



Ils appellent où ? Pourtant ils ont payé pour le service eux aussi !



Cet organisme, dans son préambule, conjugue la violence conjuguale entièrement au masculin:



“-Votre conjoint vous contrôle sans cesse?Il vous déprécie?

-Il vous humilie? Il vous injurie?

-Il vous empêche de fréquenter votre famille, vos amis?

-Il vous harcèle sexuellement?

-Il menace de vous battre si vous demandez de l’aide?

-Il vous bouscule? Il vous frappe?

-Il vous lance des objets?

-Vous avez peur pour votre sécurité et celle de vos enfants?”



C’est très bien de protéger les femmes mais si



Votre conjointe vous contrôle sans cesse? Elle vous déprécie?

Elle vous humilie? Elle vous injurie?

Elle vous empêche de fréquenter votre famille, vos amis?

Elle vous harcèle sexuellement?

Elle menace de vous battre si vous demandez de l’aide?

Elle vous bouscule? Elle vous frappe?

Elle vous lance des objets?

Vous avez peur pour votre sécurité et celle de vos enfants?



Qu’est-ce qu’un gars est supposé faire ?



Il ne peut pas appeller S.O.S. violence conjugale, et s’il appelle la police, ou nimporte quel organisme dont les employés sont payés par l’état comme les C.L.S.C., ces employés doivent appliquer la “Politique d’intervention en matière de violence conjugale” (Voir l'hyperlien plus bas) qui dit que c’est l’homme et seulement l’homme qui est le grand responsable de la violence conjugale.



Même la publicité gouvernementale, les émissions télévisées et les médias écrits martellent sans cesse qu’il est le seul à être coupable de tout problême de violence en totale contradiction avec la réalité statistique maintes fois démontrée.



Dans ces circonstance le gars à tout intérêt à fermer sa boîte et endurer.



Et si un jour il n’est plus capable d’endurer et qu’il perd le contrôle sur lui-même ce sera quand même entièrement et uniquement de sa faute selon la façon dont la justice sociale est définie au Québec.



Il fera alors partie des statistiques sur le suicide masculin Québécois, un des plus élevés au monde.



Et se fera peut-être malheureusement justice lui-même en emportant sa conjointe, un phénomène fréquent au Québec.



Ça serait pas une bonne idée de protéger les femmes en protégeant les hommes aussi ?



Et pourtant, S.O.S. violence conjugale ne s’adresse pas aux hommes même si



1-c’est un organisme financé par les taxes de tous les citoyens du Québec, hommes et femmes, et même si



2-selon les statistiques de l’institut de la statistique du Québec, la violence conjuguale frappe autant les hommes que les femmes.



Est-ce que c’est de détester les femmes que de révéler ces injustices ?

Est-ce que c’est du machisme ?



Les statistiques Québécoises sur la violence conjuguale sont ici:


http://www.stat.gouv.qc.ca/publications/conditions/pdf2007/ViolenceH_F2004.pdf



Le document “Politique d’intervention en matière de violence conjuguale” est ici:

Politique d’intervention en matière de violence conjuguale


Friday, November 27, 2009

Les malheureux auteurs du film "La domination masculine"

Ces Princes Charmants à la solde des féministes extrémistes...

Ces pauvres hommes bernés qui deviennent complices de la haine qu'on porte à leur endroit...

Tout d'abord je comprends parfaitement leurs intentions, elles sont très nobles à priori, ils veulent "protéger la veuve et l'orphelin", sauver les féministes des dents du loup en les emportant sur leurs blancs destriers vers le soleil couchant, leur armure étincelante et ruisselant de toute la sueur qu'ils ont versé en combattant courageusement toutes sortes d'affreux masculinistes ainsi qu'il le leur fut supplié par leurs sirènes, la larme à l'oeil.

Mais la noble intention c'est une chose, la mettre au service de celles qui vous méprisent, c'en est une autre..

Se laisser ainsi berner et exploiter, devenir de pauvres mercenaires au service du féminisme, se laisser induire en erreur comme Don Quichotte devant ses moulins, ça reléve bien plus du conte de fées mal ficelé que de l'héroïsme véritable.

Les féministes extrémistes se servent d'eux pour faire leurs basses besognes et exploitent habilement leurs instincts protecteurs.

Il faut savoir que de protéger les femmes est un instinct inné chez l'homme et facilement exploitable par celle qui se cherche une main-d'oeuvre docile et bon marché.

Ça ne veut pas dire qu'il ne faut pas agir quand une personne vulnérable est en danger mais il faut savoir peser le pour et le contre parce que rien de tel qu'une féministe habile qui appelle au secours pour que tout un flot d'adrénaline et de mépris du bon sens apparaisse chez l'individu un petit peu trop naïf.

Cet instinct protecteur très puissant se retrouve non seulement chez l'homme mais chez tous les animaux mâles puisqu'il est associé à la survie de l'espèce.

On a exploité cet instinct protecteur plusieurs fois à travers l'histoire en se servant de femmes et d'enfants à des fins politiques ou commerciales parfois douteuses.

Pour faire partir des hommes à la guerre "et ainsir sauver l'honneur de la Reine" par exemple, des guerres dont ils étaient presque sûrs de ne pas revenir.

On mentionnait aussi que leur patrie, et donc leur femmes et leurs enfants étaient mis en danger par le simple affront d'une autre nation envers leur suzeraine.

L'esprit chevaleresque, incité par une femme a certainement tué, mutilé et ruiné bien plus d'hommes que le gros bon sens qu'ils auraient dû avoir.

Aujourd'hui c'est chez les auteurs du film "La domination masculine" qu'on exploite l'instinct protecteur, en leur faisant croire qu'il défendent une noble cause quand ils défendent les mensonges féministes de celles qui se cachent lâchement derrière eux.

Mais il existe une cause pas mal plus noble que celle-là:

Si on est contre la violence conjuguale, pourquoi ne pas la condamner globalement et sous toutes ses formes en y incluant la violence physique, verbale et psychologique des femmes aussi ?

Pourquoi s'acharner uniquement sur les hommes si des centaines d'études faites en milieu universitaires comme celles que je cite plus bas démontrent hors de tout doute que la violence conjuguale est autant causée par les femmes que par les hommes ?

Combien de familles va-t-on continuer de détruire parce qu'au Québec on ne voit les choses que du bout de la lorgnette de certains groupes féministes qui ne cherchent qu'à perpétuer leurs subventions et leurs salaires en déformant la réalité?

Ou s'en va-t-on comme société, si 50% de notre population est considérée comme coupable d'avance ?

Ce que l'on fait par sexisme et misandrie ici a déjà été fait par racisme et xénophobie aux Noirs des États-Unis et au Juifs de l'Allemagne Nazie, eux aussi étaient coupables d'avance et à ce titre on pouvait les emprisonner sans procès.

Encore une fois voici plus de 271 enquêtes, 211 études empiriques et 60 analyses démontrent que les femmes sont autant sinon plus agressives, physiquement et autrement, si on les compare aux hommes.

On peut voir la liste de ces études ici: http://www.csulb.edu/~mfiebert/assault.htm

À quand une campagne publicitaire pour dénoncer la violence des femmes envers les hommes, envers les enfants et la violence des femmes entre elles ?

Ici un article fort bien documenté qui relate toutes les formes de violence féminine envers les hommes, envers les personnes âgées, envers les enfants, les violences de guerre, violence en groupes, les tueuses en série, etc…

http://fr.wikipedia.org/wiki/Violence_f%C3%A9minine

Puisque la violence féminine existe et est documentée, pourquoi la passe-t-on sous silence?

Même certaines féministes se questionnent.

Pourquoi n’existe-t-il aucun organisme pour la dénoncer, la prévenir et en protéger les victimes ?

Pourquoi ne prévient-on pas la violence en général au lieu de s’acharner seulement sur les hommes ?

C’est ça l’égalité ?

Thursday, November 26, 2009

La campagne de culpabilisation du 6 décembre.

Bientôt, le 6 décembre, tout les hommes du Québec auront droit a une campagne de publicité orchestrée par les nombreux organismes féministes qui essaieront de leur faire croire qu'ils sont:

1-Les seuls à être responsables de toute violence conjuguale.

2-Que s'ils ne participent pas à leur propre culpabilisation et à la dénonciation de l'homme en tant que bourreau de la femme Québécoise, ils sont tout aussi coupables que Marc Lépine, ce fou qui a tué 14 femmes innocentes le 6 décembre 1989 à l'École Polytechnique de Montréal.

La violence, tout le monde en subit, les hommes comme les femmes, les enfants comme les personnes âgées, mais chaque fois qu'on parle de violence conjuguale au Québec, on met automatiquement la femme du côté des victimes et les hommes du côté des bourreaux.

Et ce n'est pas Marc Lépine, cette fois-ci, qui fait cette séparation-là.

Ça fait 20 ans que ça dure, chaque 6 décembre au Québec c'est la même chose, on démonise les hommes d'un côté, et on fait paranoïer les femmes de l'autre.

Tous les hommes du Québec doivent rituellement porter le chapeau d’un crime commis par un fou il y a 20 ans.

C’était le crime d’un seul fou, c’est tout.

Le crime de Polytechnique a choqué toute la population du Québec, hommes et femmes, hier comme aujourd’hui, et elle choquera pour bien longtemps encore...

Mais il ne faudra quand même pas faire jusqu'à la fin des temps le jeu de certaines féministes qui détestent les hommes dans leur ensemble et qui ont récupéré l’évènement pour culpabiliser les hommes, faire paranoïer les femmes, et exiger par la suite salaires, tribunes et gloire.

Dans le même ordre d’idées on peut se rappeler qu'Aileen Wuornos a tué 6 hommes simplement parce qu’elle détestait les hommes.

( http://en.wikipedia.org/wiki/Aileen_Wuornos )

En conséquence de ce crime est-ce qu’on devrait faire comme certaines féministes ont fait à propos de Marc Lépine et faire croire au gouvernement et aux institutions judiciaires que toutes les femmes du Québec sont des tueuses comme Aileen Wuornos et qu’aucune femme ne mérite la présomption d’innocence à cause du crime d’Aileen Wuornos ?

Parce que le crime de cette femme était tout aussi intentionnel que celui de Marc Lépine.

Avant d’être condamnée elle a déclaré:

« I killed those men, robbed them as cold as ice.
And I’d do it again, too. There’s no chance in keeping me alive or anything, because I’d kill again.
I have hate crawling through my system…I am so sick of hearing this ’she’s crazy’ stuff. I’ve been evaluated so many times.
I’m competent, sane, and I’m trying to tell the truth.
I’m one who seriously hates human life and would kill again. »

Si on est contre ce type de violence et par souci d’égalité on devrait condâmner autant Aileen Wuornos que Marc Lépine parce que les DEUX sexes en sont capables.

Sinon on n’est pas contre la violence, on est tout simplement contre les hommes.


Plus de 271 enquêtes, 211 études empiriques et 60 analyses démontrent que les femmes sont autant sinon plus agressives, physiquement et autrement, si on les compare aux hommes.

On peut voir la liste de ces études ici: http://www.csulb.edu/~mfiebert/assault.htm

Ces études disent que la violence conjuguale c'est 50-50, et elles portent sur plus de 365 000 personnes, hommes et femmes, alors pourquoi dit-on qu'ici au Québec les hommes seraient pires que partout ailleurs dans le monde ?

En 1980, la "chercheuse" féministe Linda Mcleod a déclaré qu'il y avait 300 000 femmes battues au Québec, un chiffre absurde qui aurait fait en sorte que toutes les femmes du Québec auraient été battues au bout de 5 ans.

Linda Mcleod fut écoutée par les politiciens d'alors et ses chiffres se sont retrouvés dans les pamphlets du palais de justice...

Depuis 1985, ce chiffre de 300 000 femmes victimes de violence conjugale au Québec a été cité des centaines de fois dans les journaux, à la radio, à la télévision, ainsi que dans toute une gamme de brochures et de dépliants distribués dans les points de services de divers ministères et organismes du gouvernement du Québec.

14 ans plus tard, lors du congrès de l'ACFAS Linda Mcleod s'est récusée, elle a avoué s'être trompée...

...oups.

2005: Selon les chercheures Danielle Laberge et Sonia Gautier, si on regarde l’issue des procédures dans nos tribunaux, on relève 31,6% de condamnations et 68,4% de remises en liberté.

Ce qui donne plus ou moins 5000 cas de femmes battues au lieu de 300 000, et il y a autant d'hommes battus que de femmes battues selon la très grande majorité des enquêtes faites dans le monde.

Alors soudainement, à la lumière de ces révélations et sans aucune autre explication, ce chiffre de 300 000 martyres a soudainement fondu comme neige au soleil dans les publications gouvernementales...

Pourquoi répandre de telles calomnies envers 50% de la population Québécoise ?

Peut-être parce que de dire que les hommes sont tous des bourreaux est une industrie payante?

Il y a à peu près 120 maisons d'hébergement soi-disant pour femmes violentées au Québec.
Le vérificateur général du Québec est allé voir récemment et a trouvé que ces maisons sont presques toutes vides, parfois à plus de 90%.
Source: Rapport du Vérificateur général du Québec à l’Assemblée nationale pour l’année 2008-2009, Tome I, 4 novembre 2008, 335 p

(Le rapport du vérificateur général en ligne: http://www.vgq.gouv.qc.ca/publications/rapp20082009/Rapport2008-2009-T1.pdf. )

Oui il y a de vraies victimes mais ces maisons d'hébergement sont aussi occupées par des femmes qui ne sont pas du tout victimes de violence conjuguale mais qui viennent là pour toutes sortes d'autres raisons: Chicane avec la mère, problême de drogues ou d'alcool, ou tout simplement pour y trouver un "hâvre de paix".
(Et si on les recense quand même comme étant les vicitmes d'un fictif conjoint violent eh bien les statistiques féministes s'ent trouveront d'autant plus réjouies.)


Il y a aussi toute une myriade d'organismes à vocation féministe dont la principale fonction est de perpétuer le mensonge des 300 000 femmes battues, la démonisation éhontée et injuste des hommes du Québec.

Ces organismes féministes coûtent près de 500 millions par année aux contribuables Québécois selon certains estimés .

Finalement il y a l'industrie du divorce qui se sert de ces mensonges pour faire constemment pencher la balance du côté de la conjointe en cas de séparation et ainsi octroyer tous les biens et toutes les finances de la famille à la celle-ci.

Un exemple de tactique juridique: une fausse accusation de violence conjuguale au criminel est souvent la porte ouverte à une victoire au civil, même si la plainte au criminel se trouvait non fondée par la suite.

Ces fausses accusations sont évidemment facilitées par la paranoïa que répandent les féministes du Québec à propos des hommes...


Sources: http://lapresrupture.qc.ca/
On peut voir un document sur le scandale des fausses statistiques ici: http://www.lapresrupture.qc.ca/recherche.html