Thursday, November 26, 2009

La campagne de culpabilisation du 6 décembre.

Bientôt, le 6 décembre, tout les hommes du Québec auront droit a une campagne de publicité orchestrée par les nombreux organismes féministes qui essaieront de leur faire croire qu'ils sont:

1-Les seuls à être responsables de toute violence conjuguale.

2-Que s'ils ne participent pas à leur propre culpabilisation et à la dénonciation de l'homme en tant que bourreau de la femme Québécoise, ils sont tout aussi coupables que Marc Lépine, ce fou qui a tué 14 femmes innocentes le 6 décembre 1989 à l'École Polytechnique de Montréal.

La violence, tout le monde en subit, les hommes comme les femmes, les enfants comme les personnes âgées, mais chaque fois qu'on parle de violence conjuguale au Québec, on met automatiquement la femme du côté des victimes et les hommes du côté des bourreaux.

Et ce n'est pas Marc Lépine, cette fois-ci, qui fait cette séparation-là.

Ça fait 20 ans que ça dure, chaque 6 décembre au Québec c'est la même chose, on démonise les hommes d'un côté, et on fait paranoïer les femmes de l'autre.

Tous les hommes du Québec doivent rituellement porter le chapeau d’un crime commis par un fou il y a 20 ans.

C’était le crime d’un seul fou, c’est tout.

Le crime de Polytechnique a choqué toute la population du Québec, hommes et femmes, hier comme aujourd’hui, et elle choquera pour bien longtemps encore...

Mais il ne faudra quand même pas faire jusqu'à la fin des temps le jeu de certaines féministes qui détestent les hommes dans leur ensemble et qui ont récupéré l’évènement pour culpabiliser les hommes, faire paranoïer les femmes, et exiger par la suite salaires, tribunes et gloire.

Dans le même ordre d’idées on peut se rappeler qu'Aileen Wuornos a tué 6 hommes simplement parce qu’elle détestait les hommes.

( http://en.wikipedia.org/wiki/Aileen_Wuornos )

En conséquence de ce crime est-ce qu’on devrait faire comme certaines féministes ont fait à propos de Marc Lépine et faire croire au gouvernement et aux institutions judiciaires que toutes les femmes du Québec sont des tueuses comme Aileen Wuornos et qu’aucune femme ne mérite la présomption d’innocence à cause du crime d’Aileen Wuornos ?

Parce que le crime de cette femme était tout aussi intentionnel que celui de Marc Lépine.

Avant d’être condamnée elle a déclaré:

« I killed those men, robbed them as cold as ice.
And I’d do it again, too. There’s no chance in keeping me alive or anything, because I’d kill again.
I have hate crawling through my system…I am so sick of hearing this ’she’s crazy’ stuff. I’ve been evaluated so many times.
I’m competent, sane, and I’m trying to tell the truth.
I’m one who seriously hates human life and would kill again. »

Si on est contre ce type de violence et par souci d’égalité on devrait condâmner autant Aileen Wuornos que Marc Lépine parce que les DEUX sexes en sont capables.

Sinon on n’est pas contre la violence, on est tout simplement contre les hommes.


Plus de 271 enquêtes, 211 études empiriques et 60 analyses démontrent que les femmes sont autant sinon plus agressives, physiquement et autrement, si on les compare aux hommes.

On peut voir la liste de ces études ici: http://www.csulb.edu/~mfiebert/assault.htm

Ces études disent que la violence conjuguale c'est 50-50, et elles portent sur plus de 365 000 personnes, hommes et femmes, alors pourquoi dit-on qu'ici au Québec les hommes seraient pires que partout ailleurs dans le monde ?

En 1980, la "chercheuse" féministe Linda Mcleod a déclaré qu'il y avait 300 000 femmes battues au Québec, un chiffre absurde qui aurait fait en sorte que toutes les femmes du Québec auraient été battues au bout de 5 ans.

Linda Mcleod fut écoutée par les politiciens d'alors et ses chiffres se sont retrouvés dans les pamphlets du palais de justice...

Depuis 1985, ce chiffre de 300 000 femmes victimes de violence conjugale au Québec a été cité des centaines de fois dans les journaux, à la radio, à la télévision, ainsi que dans toute une gamme de brochures et de dépliants distribués dans les points de services de divers ministères et organismes du gouvernement du Québec.

14 ans plus tard, lors du congrès de l'ACFAS Linda Mcleod s'est récusée, elle a avoué s'être trompée...

...oups.

2005: Selon les chercheures Danielle Laberge et Sonia Gautier, si on regarde l’issue des procédures dans nos tribunaux, on relève 31,6% de condamnations et 68,4% de remises en liberté.

Ce qui donne plus ou moins 5000 cas de femmes battues au lieu de 300 000, et il y a autant d'hommes battus que de femmes battues selon la très grande majorité des enquêtes faites dans le monde.

Alors soudainement, à la lumière de ces révélations et sans aucune autre explication, ce chiffre de 300 000 martyres a soudainement fondu comme neige au soleil dans les publications gouvernementales...

Pourquoi répandre de telles calomnies envers 50% de la population Québécoise ?

Peut-être parce que de dire que les hommes sont tous des bourreaux est une industrie payante?

Il y a à peu près 120 maisons d'hébergement soi-disant pour femmes violentées au Québec.
Le vérificateur général du Québec est allé voir récemment et a trouvé que ces maisons sont presques toutes vides, parfois à plus de 90%.
Source: Rapport du Vérificateur général du Québec à l’Assemblée nationale pour l’année 2008-2009, Tome I, 4 novembre 2008, 335 p

(Le rapport du vérificateur général en ligne: http://www.vgq.gouv.qc.ca/publications/rapp20082009/Rapport2008-2009-T1.pdf. )

Oui il y a de vraies victimes mais ces maisons d'hébergement sont aussi occupées par des femmes qui ne sont pas du tout victimes de violence conjuguale mais qui viennent là pour toutes sortes d'autres raisons: Chicane avec la mère, problême de drogues ou d'alcool, ou tout simplement pour y trouver un "hâvre de paix".
(Et si on les recense quand même comme étant les vicitmes d'un fictif conjoint violent eh bien les statistiques féministes s'ent trouveront d'autant plus réjouies.)


Il y a aussi toute une myriade d'organismes à vocation féministe dont la principale fonction est de perpétuer le mensonge des 300 000 femmes battues, la démonisation éhontée et injuste des hommes du Québec.

Ces organismes féministes coûtent près de 500 millions par année aux contribuables Québécois selon certains estimés .

Finalement il y a l'industrie du divorce qui se sert de ces mensonges pour faire constemment pencher la balance du côté de la conjointe en cas de séparation et ainsi octroyer tous les biens et toutes les finances de la famille à la celle-ci.

Un exemple de tactique juridique: une fausse accusation de violence conjuguale au criminel est souvent la porte ouverte à une victoire au civil, même si la plainte au criminel se trouvait non fondée par la suite.

Ces fausses accusations sont évidemment facilitées par la paranoïa que répandent les féministes du Québec à propos des hommes...


Sources: http://lapresrupture.qc.ca/
On peut voir un document sur le scandale des fausses statistiques ici: http://www.lapresrupture.qc.ca/recherche.html

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